Donner un sens à sa vie :
Et si on faisait fausse route ?
Tu as coché toute les cases, et pourtant même si tout semble aller bien, quelque chose manque, une sensation de manque.
Malgré une réussite professionnelle, une vie confortable, une reconnaissance sociale…ce sentiment diffus de vide intérieur persiste, insistant.
Si cette résonne en toi, sache que tu n’es pas seul(e).
Et tu n’es pas là par hasard, cet article est pour toi.
La grande duperie du “sens”
Depuis des années, les livres, formations, méthodes de développement personnel nous inondent et nous vendent du rêve facile :
- “Trouvez votre Ikigai !”
- “Alignez-vous avec votre mission de vie !”
- “Découvrez votre passion, et tout s’éclairera !”
Ce discours est séduisant, bien marketé, et très lucratif. L’industrie du développement personnel génère plus de 13 milliards de dollars par an.
Mais derrière ces promesses, que reste-t-il, une fois lues, voir même mises en pratique ?
Pour beaucoup : de la confusion, des attentes déçues… voire de l’anxiété.
Les données sont claires : 72 % des personnes qui ont un parcours Ikigai retombent dans le flou après 18 mois. 43 % développent une forme de dépendance psychologique au développement personnel. Et 84 % reviennent à leur point de départ malgré des formations, lectures et reconversions.
Et si le sens n’était pas un objectif ?
Le sens n’est pas un point d’arrivée. Ce n’est pas une destination à cocher sur une carte, mais une quête vivante, une tension permanente.
Donner un sens à sa vie, ce n’est pas “trouver”, c’est “construire”.
C’est une démarche intérieure, personnelle, instable — mais extraordinairement puissante.
La biologie du sens : ce que dit la science
Les dernières découvertes en neurosciences sont fascinantes. Le “réseau du sens” dans notre cerveau relie trois éléments :
- L’hippocampe (notre mémoire personnelle)
- ❤️ L’amygdale (nos émotions profondes)
- Le cortex préfrontal (nos projets, nos récits de vie)
Quand ces trois dimensions sont connectées harmonieusement, alors le cerveau active intensément cette zone du sens. Ce n’est pas une croyance, c’est de la biologie.
En clair : le sens se crée quand ce que tu vis, ce que tu ressens et ce que tu projettes sont en cohérence.
Exemples de témoignages ,
- Ludovic, cadre supérieur à Londres, quitte la finance pour “trouver du sens”… et se sent encore plus vide un an plus tard.
- Sandrine était devenue une véritable “consommatrice de sens”, accumulant les formations, mais sans jamais se connecter à elle-même.
Leur point commun ? Avoir cherché à l’extérieur ce qui devait venir de l’intérieur.
♀️ Coach, mentor… ou miroir ?
Le rôle du coach n’est pas de te dire qui tu es, ni quelle est ta mission. Un vrai maître ne transmet pas “sa” vision du sens. Il t’aide à te reconnecter à ta propre source.
« On devient consommateur de sens, mais pas créateur de sens. »
Et maintenant ?
Je te propose un petit exercice simple : Liste toutes les méthodes de développement personnel que tu as testées. Note ce qu’elles t’ont coûté (en temps, en argent, en énergie). Et demande-toi : qu’est-ce qui a vraiment changé 6 mois plus tard ?
Tu verras peut-être, comme moi, qu’on cherche parfois au mauvais endroit.
Le sens, c’est un jardin
Tu ne le trouves pas. Tu le cultives. Chaque jour. Dans le doute, l’action, la chute, la joie, la peur, la tendresse.
Alors la prochaine fois que tu entends :
“Trouve ta voie, et tout s’éclairera…”
Réponds simplement :
“Je la construis. Une brique à la fois.”
Et toi, sais-tu vraiment ce qui te donne du sens aujourd’hui ?
Si tu veux, on peut en discuter ensemble, n’hésite pas à réserver un appel gratuit.
